Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/249

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gU!eORION .}[ais nul bruit ne sortair de cte foule immense, Qi s’ag’itait aoec un fra)’ant silence: Ge peupl n’dtait pas du monde des rioants. it et lhje ooy’ais, parmi les flots mouoants, Des omes au front ph!e, l prun!e ardente. Et dont le cou portait une !ig’ne sanB’lante. Ges omes, zgrieus, tristez, calmes et.fortS, Semblaient guider la foule innombrable des morts. J’eus blentdt reconu !es ombres odndres De nos rands-pres morts duns les lutes sucrde., Et, cruiKnant !eur courous pour nous, leurs fls maudits, Je prosternai mon front contre tre el je dis: nos pes, pardon ! Gants, ills de la tre, Dont !es bras ntassaient Ossas et Pallions, Qaud des Dieus opresseurs l’O.IKmpe solitaire C’roulait au ,ent de feu des rdvolucions, !!ros de la Montaffne et de Qatre-vingrt-trei:e Pardon ! Vous labouriez l champ de l’a,enir Et ,ous forie:pour nous dans l’ardente fournaise Un F!aive flnmbq’ant pour combatre et punir. Nous,.fils dtfn.rds les.brts, race oublieuse, ’s !aissons retomber notre bras inpuissanl Sans oser ramasser l’arme victorieuse Ni cueillir lYpi mnr trempd de votre san K. Et si ,ous vous le,e,. pour nous demunder cornpie De nos !riches torpeurs apres vos ,rands combats. Nos dobeurs ont asse expid notre honte : 0 nos p?res, pardon, ne nous maudissez pas. )) .t lots, pareil an bruit des riots .qe le ent roule,