Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/248

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t EUFOR!ON Tu.fidras, tracers l’imensild du ciel Dans !e vide ffternel. Tu ponrsuivr. as en oain ton long p!erinage ; Tes genons s’useront sans trouoer jusq’au soir Un abri pour t’ ass eoir. Tn voKueras .sans but sur des mers sans rioage.. Oit nul astre ne brille t tra,ers l’ air voil Dans !e ciel ddpeupl. Les rqKons du marin percent la brmne grise: .4 la place o ia oei!le dtait la grande dglisc, La foule, sans abri contt les s,ents d’ioer, 1tedemande le toit qi la cou,rait ier. 31ais bientOI, disperses dans !a.fort obscure, Les sages, t tracers les champs de la nature, Vont chercher pleins d’ardeur, dans les senliers perdus, L’arbre de !a science et ses.fi.uils ddfendus. Les peuples, sous !e ,ent qi dehire les hues, S1aneent en ehantaut vets les mers inconues, Et l’escla,e, brisant ses fers, arme son bras Four la ibertd sainte etles derniers combats. VIEILLESSE DU MONDE Un chant de mort. Voici ce qe je ;,is en r,e : La nuil couvrail Paris; sur la place de Groe Ondulait tout un peuple, ainsi q’ans vents d’i;,er tlottlent amoncelds les grands flots de la met.