Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/241

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'FORiO l’odtiqe’rivage, Oh Ic flot qi soupb’e Jte aus vents embaumds des mots armonieas ; C’ortg’e insouciant des Dieus ills de !a lire. Blanches riles de ma.bre aus noms mdlodieuso Peuple sacrd d’Hellas, recevez roes adieus. Le spectacle du ntal yenair troubler ma vie: J’ai vu ceus qi soultalent duns !’ombre, el j’ai prid Pour !e.faible, !’enJ?tnt, l’esclarc q’on oublie, Et mon cwur s’est re.q)il d’une immense pitid; [ais vets le ciel d’airain vainement j’ai criff. Qe me fait ,atre 8’loire indiJrente et fi?re, Dieus eureus, qi loujours protgez !es plus forts Je ne veus plus ofrir mon cuite et ma pri&re Q’h celui qi promet ie pardon au remords, A !afaiblesse unjuge, une espdranee aus morts. J’irai dans les ddserts emplis dcos mistiqes, Sur le sable dpeler les traces de ses pas, Etj’atendrai, courbd sous les vents profdtiqes, L’iddale beautd, sans rooddie ici-bus, Qe tous vos Dieus eureus ne me doneront pas. a 7 tllas ! hlas ! au lleu des chansons et des danses Qels flots de pleurs versds ! Qels cris d’angoisse au lieu des plaisirs repoussds ! Remords qe rlen n Yface, inutiles soufrances, Longrs soupifs, lourde ct’oLs, E! l’dternel regrel des rves d’autrefois.