Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/238

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., EU FORION De ses derniers rq’ons !e soleil illumine Les colones de narbre et les j’ontons sacrds ; e coachant resplendit de naaB’es poarprds, Euforion, deboat derant le saint portiqe, Embrassant du reB’ard les plaines de i’Attiqe, Et le Pirie aus cent triremes, et la ruer, Le front penchd, s c.rie, en proie au doute amer : Ce q’en ,ain j’ai cherchd dans l’immobile Asie, 0 race crgatrice entre route choLsie, Dites, enfants d’Hellas, cet iddal rv, ]Ie le donerez-voas, et I’a,ez-,ous trouod ? STROFE I Fils d’ltdlOne, tu voLs la fdconde pattie Des Dieus et des hros, Hellas, fiche en coursiers ; Ce fleu{,e est !’I.1)’ssos, cte plaine fleurie, La tre de Pallas, fertile en oli,iers. , les mars des citds naissent an son des lires, Et, du sein de la met divine, aus matelots )’pris A froditd, Ddesse des sourires, Dans sa conqe marine apara?t snr !es flots. Li, les mars des citds naissent au son des lites, Les joncs out des soupirs, et les chines des bols De profdtiqes vols. A NTISTROFE I Les Dieus ol.miiens, par un divin mistre, Unissent, dans lear mile imens, !a tre aws cieas, Et les hdros, dompteurs des monstres de ia tre, Dans l’Ompe dtoild r’nent parmi les Diezs. Come les ciffnes blancs en troupes oa’abondes,