Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/233

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EUFORION ape! La oois-ta palpiter. et frdmir Sons lYternel ddsir ? z]I?le encor, pour no.y’er notre soif haletante, Dans ta coupe dnervante Tes magiqes poisons, et la shoe brillante Du fruit qi fait mourir ! Les lres tour tour meurent sous ton dtreinte, lais toi, ooluptd sainte, Tu rejtes, ainsi qe des jouets brisds. Tes amants .puizds. Zes grdndracions de toute crdature Passenl come un mul*mlre, hrais !a toate-puissante, immortle nature tlenatt sous res baizers ! EUFORION. Tes esclaves sans nombre atendent, d nature ! La part de volupt qe ta main lear roesure ; L’imne sans.fin vets toi s1ve : qe te sert, A toi, bercde aus chants de c.te courjo. Fease, 0 nature orgrueilleuse ! Une note de plus dans ce vaste concert ? Assez d’ttres sans moi t’obffissent, d reine.’ Et se courbent din,ant ta force sonveraine ; Loin de ce tourbillon qi !es eraporte tous, fie peas de l’Idal traduire le mistre, Et montrer iz la tre Deg formes de beantd dont Dieu serajalos. Dans ce monde de l’art, plein de clartds serdnes, Sans troublej’entendrai les chants de res sirt;ns ;