Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/230

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21( lgUFORION Tu mpriseras l’hmour de Zeus mme; .lais, come les Titans, dans un combatsuprdme, Vaincu, fondro.)’d, tu retomberas Sous !es ddbris du monde branld par res bras. L’AGE D’OR Salat, IIimalafa, bertran des premiers/g’es, Dont le front, par delit !e plus haut des nuages. Loin, bien loin dans lYter immobile et dormant, Sur les grands orizons rg’ne ttern!emeut! 0 Kdant, roi des moats, de qei orgueil sublime S’etle ton cwur de Dieu, qand, de ta blanche time, Sur ta tle tu vois le ciel, et sous tes pieds L’Inde, ton bel empire, etses bois de palmiers, ’t ses flem,es tombls de res mains, etses ,i!les ()it dorment les tombeaus des peuples iramobiles ; ?t’c douce et fdconde, off mile ,oluptls E. valent !eurs patttns dans ies airs enchantifs. ]es ,ieus flem,es au loin r’,g’nent surl’or desplaines ’t ddroulent en pais leurs majestds ser?nes. ’ Ils sYgarent soutent dans l’ombre des grands bois, Et leur ,ois se con fond a,ec les mile ,ois )’dlou. fe lu ffbrat sous ses ,oittes obscures. Aim’s, pour assoupir et nler les murmures, ]cs c(’drcs du ri,age inclinear leurs fronts noirs; De I’, i’autre bo’d, come des encensoirs, cs limcs eu Jlcurs ian’anl leurs girandoles, $’cnlttccnt stir les j7ols en obscwes coupoles.