Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/227

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EUFORION. PROLOGUE, Aus roj’aumes du olde, oh l’antiqe Sibj,lle Gonduisit par la main le hdros de }’irgile, $’dtendent, prbs du 8.O’x, les oagues profondeurs Du sdjour sans soleil q’on nome Ghamp des pleurs. Lit, sous’ un bols de mirte, en des routes discrbtes, Gens q’Eros consuma de ses.fibvres secrttes Vont jS’ant sans repos, mbme it travers la mort, L’aiguillon d’un ddsir qijamais ne s’endort. s areants, !e cwnr piein de moles lassitudes, SYgarent dens it dens an fond des solitudes, Ou oont, pensifs et senIs, cwurs it l’espoir fermgs, Gat ils out autrefois aired sans btre aimds ; D’autres, plus ddlaissds et plus tristes encore, ExilFs de l’amour q’un’ouvenir dgoore, Pitles de jalousie, dooqent it la fois Tons les spectres pleurds du bonew d’autrefois. Ge qe cbte forbt cache dans ses tetraires De sanglots dtoufFs et de donlents mu’,tes, Ceus-lit seuls le sanrout qi portent dans leu. rs ca, urs 1;’anKoisse du ddsir et ses mornes lanKueurs. C’est Ill q’Achi!le vit errer parmi les times Hlne aus pieds d’argent, la plus ble des fames ;’ e !.gubre tIadbs, dmu de leur lld;,ei!la les torpeurs de sa std.ilit :