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LES FILETS D’IFAISTOS. Qand la faus de Kronos rendit le ciel stdrile, Le sang du grand anctre et sa fdconditd Rpandirent dans l’onde une gcume subtile D’olt sortit come un !is la blanche A froditd. Alors le ciel sourit, et dans lYter immense, Des Dieus et des Titans monta l’imne joy’eus ; Et l’univers charmd salua ta naissance, 0 mre, d volupt des omes et des Dieus ! Les lments discords apaisent leur qerle : Dompt pat’ res regards invincibles et dous, Ards, le dur gudrier, dds qe ta vois l’aple, Rend la pais fi la tre et tombe it res genous. ,’endormant dans l’oubli des gaffes disparues, Bieneureus ! il repose entre tes bras sacrs ; Les glaioes meurtriers se changent en chartres, Et des sillohs sangiants sottent les bids doris. Saint itnen, d’oit nattra la edlesle Armonie !

Rous !es regards amis des astres inclines, 

Force et BeautY, lYpouse it lYpous est unie ; Dans un riseau d’amour ils dorment enchatnds. Un Dieu pnissant forgea cte trame invisible, Le Dieu des profondears, qi soufie, loin dujour,