Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/186

Cette page n’a pas encore été corrigée

I7fl L’NIGMi Le Dieu. Ce n’est as la mo qi sare les mes, cyst le ch, et le ch est voter uv. nt vous eez aus mots ils sont s de ous: ils n’aban- donent as ceus qi s’ussent h eus dans la comunion des Saints. Mais qand vo les oubliez, ils euvent bien vous oublie leu tour et boise Feau du Lth. Ils sont libes de s’endomi dans le silence et la ais ou de ente pour des lutes nouvles dans l’ane de la ie. Tu doutes o de la puissance de la volont. C’est le Dsir qi a c les mondes; toi- mme e’est librement qe tu es descendu dans la naissance. Aujoudui come ie, demain come aujou- dui, tout ce qi vet t sea. ’m, Comt le ossible eut-il vouloi avant d’exister ? Le Du. C’est la 1oi du devenir. L’Ome. Je ne compvends pas: res v6ponses, come tu me l’avs artone6, d6passent les bornes de ma raison. Qel plaisiv trouvent done les Dieus h tortu- rer notre intelligence pay d’insolubles 6nigmes ? Le Diett. Est-ce la faute du soleil si tune peus le regavder? IIte sufit de savoiv qel est le but qe tu dois ateiudce. La Justice est la loi sp6ciale de l’ome. Tu as un guide pour t’i conduire, ta conscience qi ne t’a jamais tromp6. Chacun de vous est toujou et partout l’uniqe aisan de sa destin6e. Le juste sait q’il travaille pour sa part h l’uvre magnifiqe des Dieus. L’Ome. Ne t’en vas pas encore: 6coute une der- nitre qestion, une dcrnirc prire. Tune re’as pas demand6 ma confession, je te la fcrai, cependt. Oui, il i a une eure qc je voudrais rctncher de ma vic, l’em’c oh, dans le carefour du doute, j’ai pris la route gauche. lc menair des fondfibres. J’ai vule