Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/174

Cette page n’a pas encore été corrigée

x6o L VOL prfrera.les tnbres au jour et la mort ’ la vic. L’antiqc Egypte peut dermir au fond de scs ncro- poles; ’ l’eure oh la science l’cn tvoqera, hie saura bien rvler lc secret de sa languc mistricuse it ccus qui l’introgcront avec iweur. Asc!ios. Un bruit confus afire jusq’ici, Trism- giste, je erains q’on nc dcouvrc not vetcairo; jc vais ourfir les cluscs s’il enest encore tenps. Hermes. A qoi ben, Asciipies ? laisse la destinc s’aconplir, il vaut mirus mourir ensemble... 11 est partict nc m’entcnd plus. Le bruit sc raproche, un cliqctis d’armcs, des pas prcipits ct dcs cris de mort. Alens le rejointire. Mais le volci qi rcvient.

Tu es blcssC’, men enfant ? 

Aschios. Jc nleur$, men prc. I1 tait teop tard pour lcur former la ute, ils sent maintenant dans le soutrain, ils suivent Its traces de men sang. II neurt; I’d,qe Thdodore entre suh,i d’une troupe de soldats et de moines. Thdodore. Saisissez ce vieillard et liez-lui les mains, mais respcctez sa vie, not Dieu dfend de verser le sang. Hermes. Pourqoi donc avez-vous vers celui de- cot enfant ? Lrn centurion. La rblion et I’impit sent des crimes. I1 i a plus de soixante ans q’un dit impe- rial a ordonn( de former lcs temples des idoles; c’cst une honte pour l’lgypte qe le Dmon conserve encore ’h Filer un dcenicr repairc. Un me;he. Livre-nous le trsor qe tu gardes ca-