Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/163

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n’acceptent de bone grace l’mour d’un Dieu. Zeus est obli de se eher en cite, en ile, en u- reau, il ne pcut ussir q’en prenant la forme d’une bte: si la fame savait qe c’cst Dieu, hie n’en youaltair pas. Apollon, le plus beau des immortels, - n’a auc succs en amour: Dafn se sauve h son aproche, Coronis le tmpe indignement, on ne salt pour qi, pour le premim- venu; il sufit qe ccne soit p m pote. Le Fdmin, qi cst la matirc et la vie, a une rpuae tinctive pour l’telligence et l’iddd. Jee lille, dit l’ae Ithuriel, je t’ai apcue de lb-haut, qand tu te baiais dans l’eau trauspareutc, sous les c0dres du mont Hermort, et j’ai qit le ciel pour Wi. Laisse-moi con,rapier s ieus rioits, roes toiles. Tu es trop bide pour la tl-C, Dieu s’cst tromp en te thisant naltre ici. Mais il ne t’a don qe la vie, moi, jc veus te donor e hmc. Dans ctc ibrme divine j’alumcrai une 11hme cleste, je serai ton crOatcup et ton antant. VJeu, nous voyagerohs pacini Its astrcs d’ov, au-Jessus des uues. je tc por- terai sur roes ailcs puissantes, jc t’enscierai Its lois ternlcs. -- Tais-toi, l:grgore : tu vois bien q*le ne com- prcnd pas. Los clhirs de son regard, tu as c qe c’tait l’intclligcncc, ce n’tait qe la vie. Est’c q’lc a des ailcs pour te suivre? Tu lui patios une languc inconue, lc a pour ct lc sc sauvc. Ah la guenon du pays de Nod, lc va rctrouver son graud singe antropoide, l-bas, dans Its marais. le a ison, il faut des couplcs assorals. Mais toi, qe fais-tu ici, Dieu tombS? Va, retirtoi au dscz ct atends la flu de ton exil. L cffiuvcs du cielpcuvcnt dcscend sur la t,