crets, le z6zaiement, les consones lic[ides prodigu6es, le redoublerecur des sillabes. Qant ’ la moralit6 de la fame, ,le se r6smne dans la cbaseC, garan%ie do la pure%6 des zces. La ehastet, pour la fame, est sinonline fie veru, ome pour l’ome la probil e le onrage, car le milieu do l’ome est la eit, le milieu fie la fame est la famille. I.’enfan a.vant besoin d’une mre pour l’alaiter et l’lever, d’un pre pour le prot6ger c:Z le guider dans la vie, la famille esZ la raison citre e la finalit6 de l’amour. L’immense importance de l’616ment intellectuel et moral dans la vie de l’ome et des soci6t6s est la principalc pibre d’achopcment dc la t6orie de Darwin. Un des premiers ap/tres de cte t6orie, M. Wal- lace, n’a pas craint d’aborder de front cte dificult6. Entre l’ome ct 4es autrcs Primates, la distance est fisiologiqemcntbien faible; mais la facult6 de conce- voir les idOes g6u6ralcs du vrai, du beau, du juste, ct de les exprimer par le fangage articu16, l’aptitude h d6couvrir la 1oi des cboses, h cr6er des oeuvre$ d’art, ’h cboisir !ibrcmcnt le bien ou le real, 6ta- ldisscnt entre le plus 61ev6 des singes antropoldes ct la plus infinc des races umaiucs une dif6rence si p. rofonde q’on n’imagine mme pas la possibilit6 d’une transicion.
M. XVallace trouvc dans l’organisaeion fisiqe de
l’ome, et surtout dans la constitucion de aon cer- veau, un certain nombre de particularit6s qi nepeu- vent s’cxpliqcr par la s61exion naturle et qi rapg- lcraicnt plut6t les faits de s61exion artificilc, qe l’ome lui-mmc parrlent/ dirigcr ou h produire dana Its plantes usuries et Its animaus domestiqcs. On pourair donc suposcr qe des intelligences sup6rieu- res t la n6t ont conduit notre 6volucion organiqe,
