Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/158

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les psente p des nen ails sirs qi volticnt au des ’ Beeu est m du Dir, d’eps la mitoloie. une pondacion de omes l’closion des gevmes et au perfexioncment de la race. L’ampleuv des hches, la fevmet de la gorge sont des gties pour l’enfant qi naltra. Les ames errantes nous poussent ve nos complYmen. res; les choisisscnt, pour cntrer dans la vie, les condi- cions orniqcs dont lcs ont besoin, et les nous im- posent leur chois sans nous conster. Ce chois cst rcmcnt d’ord avec nos convences ciales: ce n’cst pas lcur faute, les ne conaissent qe Its con- ’enanccs fisiologiqcs. Lcs romciers ont rt de croire qe l’amour adtd invcntd pour le boneur o le dscspoir des areants: q’importcnt nos pl. nes et nos joies a la grande Isis ? Ele nc s’intrcssc q’a l’cspacc, et ne s’inqite pas des individus. Pourqoi n’aurait-le p come nous scs haras ct scs conrouts d’animaus repmductcurs? La volupt cst un ameon q’lc nous jte; c’cst un but pOUi’ IIOUS, c’est un tooyen pour t. le. Le poisson sai- sit l’apfit ct croit travaillcr pour son compte; il nc comprend qe qand il est dans la poble h frire. Alo il se dit: Si j’avais su ! II lncnt: il am’air beau savo, il rccomcnceeMt. La sdlcxion ncse raisone pas: c’cst dlcctrlqe. I1 i a des throes tl’on estinc, d’aut’cs pour qi on se brhle la ccrx-blc. L’inplacablc dsir nous tralnc par los cbcvcus; nous nous foulohS aus pieds de qclqe odicusc idole, et qand i, lc nous a broy6 lc cur, nous ’lui demandohs pardon. On s’dtonc tic nous soyons si facilcmcnt domptds pardcs crd, atures infdriem’cs: