I LA. LGIDE DE SA. INT HIL.nioN porte pour baiser le sol q’le avait foul de*ses pas, ct des lmes chaudes mbent sur ses mains en laes utes. I1 falait revenir seul p la u q’ils .avaient suivie ensemble, et paut, sur son pse, ili avt des mauvais anges qi riaient d’un re moqeur. Qd il aiva ps de la soe, il enndit une pln navr: Ah ! meureus, q’as4u fait ? I1 ntra ds cle et se mir genous devt son cmd. Le st le regait d’ air irri: Ah tu as vou ascier mon cul lui de mon rnle enemie, la reine du monde pissle, la Vie qe j’ai conclarenCe, la Na qe j’ maudi. Tu vois ce q’le a fdt de Wi, nde Isis, la magicine qi t’a sduit par ses incancions. Moi, jo prends ce qi m’apaient, l’ofrde qe tu m’avs ncrde autrefois: c’est la brebis perdue et trouve, ]e l’empo ds roes bras. Ms po xcher son line, il faut le sdu sacrifi: sols la victime; rdpds tadouleur coe une libacion po son salut dmel, ble n cur en 01ocaus sur l’autel de la rdempsion [ L’ange bloc et l’e noir se ncnt des deus c6s de la cle. Le premier dist: De qoi plains-tu ? Pour la ron de son ’e, ne nsens4u p a ufrir? Si l’on t’avt dit: Vutu acher le salut do creature au ps d’e doe mute q’le ne soupqonera mme pas ? Si l’on t’avt dit cela, tu aurais acep i de qoi donc te plainu mant ? Serene d’avoir d toi-mme, et m Wi?
le est venue fraper por, sait l’aut,
kle t’a demdd pmtexion: pourqoi 1 as-tu che ch un autre asile, pourqoi l’-tu confide des