Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/134

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I20 lt L]G]?DE DE SAINT nlLAnlox doner mon nom, ql est celui de la mre de Dieu. Tu vas ju.er pour le de noncer au monde, afin qu’le chape aus embhchcs de’l'nemi du genre main. Hil’ion pnona le serment. La snte ramsa dcus tiges de roseau et en fit e crois q’le plta n re; le puisa de l’eau la source ct laversa sqr les chevus noirs de l’eant. Alors ut s’efaa come e vision; Hilarion se trouva seul pros de la soce, q chanit gent sur son Ht de l- les et dansair avec des cl d’ant parmi 1 seaus. Des anes se passnt. laion vieilHssait dans la solitude, mdiut su la vie tenle, et asso- ciant uous la lectm’e des vres pofes ses dicions sur l’vanlc, sa voit q’il i avait 1

grand danger. ll aimait  se rapelet les le9oms 

d’Hypatia et les aH6gories g6nieuses q’le savait d6couvr dans la miWlogie des pontes, trsfor- mant ainsi les fables les plus absdes en graves parables, ’d' se pbofond et d’uuc haute mora- li. Sa s6r6 radieuse dissipait 1 orages de rime; les curs ub16s s’apaisent en contern- plant sa beau cae, en 6coutt sa parole austgre. On compnait qe les psions sont faites.po tre dompes. La fille du leH, rc6, l’enhteressc qi chge les omes en btes, cest la pnce redouble et sstre qi d6grade et servit les es par l’attrt mqe de la volupt6. s passions umaines sont d’irr6sistibles Sirnes, dont les ch m61odicus retntiss6nt come une caresse des riots. Si le vo}’ageur imprudent s’aproche po les ntendre, sa bqc se brisc sur los 6cueils de la vie; au lieu des cmbrasscments rvds, il sent des ifies d’oi-