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LE MÉDAILLON
N jour j’étais dans mon cabinet,
occupé à créer, à éditer quelques
toilettes pour des élégantes qui
devaient les porter à un bal de la
Cour, et ne voulaient qu’aucune se ressemblât,
ce qui n’était pas une petite affaire, quand
ma première vint à moi, et me dit : Vîte, vîte.
Monsieur, Mme de Zayska veut vous parler
et elle est très-pressée.
— Mademoiselle, vous voyez bien que je suis en train de composer, et fis-je d’un air