donnait un bal costumé à la Présidence.
Cochonnette avait remis son costume Watteau à la prière de tous ses amis.
Seulement, elle avait des souliers de satin rose brodés de perles et à hauts talons dorés.
Notre jeune connaissance du boudoir l’aborde.
— Vraiment, Marquise ! vous êtes encore plus ravissante que de coutume, mais vous avez commis un crime de lèse-coquetterie, pourquoi ne pas avoir mis ces petits souliers en satin blanc, si coquets, dignes de chausser Cendrillon.
— Pourquoi ! Ah voilà ; mon bon, ma femme de chambre est si négligente que depuis le bal des Tuileries nous n’avons jamais pu les retrouver… Je vous laisse à deviner la tête de Monsieur.
Il comprit seulement alors une des raisons de ce surnom de Cochonnette. Nous disons une des raisons, car il y en avait d’autres !…