M. Chenevix[1], lesquelles ne peuvent qu’indiquer une trop forte dose de cette substance[2]. Or, 100 de soufre exigeant pour passer à l’état d’acide sulfurique 85,7 d’oxigène[3], la quantité qui s’en trouve dans la liqueur est de beaucoup inférieure à celle qu’on peut supposer nécessaire pour constituer l’acide sulfureux. Le soufre agit donc ici par une plus grande masse, et doit retenir l’oxigène avec une plus grande force que dans l’acide sulfureux, tandis qu’au contraire il doit être séparé plus facilement de cette combinaison. Mais ce n’est point à l’action du soufre que se borne celle qui maintient l’oxigène dans cette liqueur, on doit y joindre encore celle de l’acide muriatique, auquel s’applique aussi le raisonnement qu’on vient de faire pour le soufre. Il est donc manifeste que l’oxigène doit être fortement défendu contre toute nouvelle force qui n’agit que sur lui, et que les deux autres principes de cette combi-
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Combinaison du soufre