qui présente ces modes de division, que je n’ai pas hésité à en admettre l’existence.
La marche que suivent les deux sons, dans cette série de lames est beaucoup plus simple que celle des figures nodales : d’abord ceux du système ponctué s’abaissent, à partir de la lame jusqu’à la lame inclinée de sur l’axe, et qui donne le son ut, comme la lame no 4, fig. 3 bis inclinée du même nombre de degrés sur l’axe ; ensuite le son de ce système monte graduellement jusqu’à la lame parallèle à l’axe où il atteint son maximum d’élévation. Quant aux sons de l’autre série de modes de division, on voit qu’ils montent graduellement depuis la lame perpendiculaire à l’axe jusqu’à où les systèmes nodaux sont tous deux composés de lignes croisées rectangulairement, et qu’ensuite ils redescendent de nouveau jusqu’à la lame parallèle à l’axe. Il est clair qu’il n’est pas nécessaire d’examiner les lames telles que fig. 4, puisqu’elles doivent présenter les mêmes phénomènes que leurs correspondantes seulement, ce qui était incliné à droite de l’axe dans les lames se trouverait incliné à gauche dans les lames
Il n’est aucun des modes de division de cette série qui ne soit analogue à quelqu’un de ceux qui nous ont été offerts par les corps dans lesquels il y a évidemment trois axes rectangulaires d’élasticité ; néanmoins, considérées dans leur ensemble, les transformations que nous venons de décrire offrent des particularités qui n’existent pas dans la quatrième série des lames de bois, fig. 14, pl. 1re. La plus frappante consiste en ce que, dans les transformations de cette dernière série, aucun des systèmes, à l’exception du premier et