grés d’inclinaison, dans les deux séries de lames qu’on pourrait tailler autour de et de tout se confond dans le voisinage de la lame perpendiculaire à l’axe
Ces lames présentent des phénomènes beaucoup plus compliqués que ceux des deux séries précédentes. On conçoit en effet que cela doit être ainsi, puisque les lames parallèles à deux faces adjacentes de la pyramide affectent des modes de division très-différents, ce qui suppose que leur état élastique diffère aussi beaucoup : par conséquent les lames perpendiculaires au plan qui passe par deux arêtes opposées de l’hexaèdre devront participer des propriétés de l’une et de l’autre. C’est ainsi que les lames perpendiculaires à deux faces parallèles du prisme, et passant par son axe, affectent une disposition de lignes nodales dans laquelle la direction des plans de clivage, parallèlement à l’une des faces de la pyramide, exerce une influence considérable.
Dans les lames de cette série (fig. 4 bis), ni l’un ni l’autre mode de division n’est constant ; néanmoins, pour qu’on puisse toujours les distinguer facilement entre eux, j’ai continué à les indiquer, l’un par des lignes pleines, et l’autre par des lignes ponctuées. Et afin de conserver, dans toutes les lames, la projection de l’axe parallèle à l’axe de la fig. 1{re, j’ai supposé ici que le cristal avait été tourné sur lui-même jusqu’à ce que son arête fût devenue antérieure. Ce qui se trouve d’ailleurs suffisamment indiqué par la figure