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pourraient être assimilées aux équations algébriques, à cause de l’accroissement des dénominateurs qui permettrait de négliger les termes d’un rang très-éloignés[1]. Mais en y réfléchissant de nouveau, j’ai reconnu que cette considération ne serait pas satisfaisante. En effet, l’équation différentielle de l’ordre serait, dans cet exemple,

or, quelque grand que soit on ne pourrait pas la réduire à ses premiers termes, parce que les valeurs de qui s’en déduisent sont aussi très-grandes et comparables à

  1. Mémoires de l’Académie, tome VIII, page 367.