Les forces étant nulles par hypothèse, la quantité sera une constante arbitraire ; si donc on fait
sera une pareille constante, et l’équation (1) deviendra
On suppose aussi que la surface du fluide soit celle d’un solide de révolution ; en appelant donc et les coordonnées d’un point quelconque de la courbe génératrice, comptant l’abscisse sur l’axe de figure, et faisant nous aurons, d’après les formules connues,
et, par conséquent,
Soit le rayon vecteur du point qui répond à et et l’angle que fait ce rayon avec l’axe des en sorte qu’on ait
Si l’on prend pour la différentielle constante, on aura
Supposons actuellement que la surface du fluide diffère peu de celle d’une sphère qui ait son centre à l’origine des coor-