Cette quantité ne peut se réduire, en général, à une forme plus simple. Elle est une somme triple, relative aux variables dont les différences finies sont
Celles de et varient dans l’étendue des sommations, et dépendent de la loi inconnne de la compression de dans le sens de son épaisseur. La somme relative à pourra s’étendre depuis jusqu’à les sommes qui répondent à et s’étendront depuis zéro jusqu’à ou à l’épaisseur entière de supposée insensible.
(26) Les valeurs des forces étant ainsi déterminées, je les substitue dans les équations (2) qui deviennent
Les deux premières montrent que dans l’état d’équilibre de deux fluides superposés, la quantité demeure constante dans toute l’étendue de leur surface de séparation. En faisant donc
la quantité sera une constante, positive ou négative, dont le signe et la grandeur devront être donnés dans chaque cas par l’expérience, et qui pourra dépendre de la matière, de la température et du degré de compression des deux fluides près de leur surface de contact.
La troisième de ces équations, savoir :