Le calcul fait seulement découvrir une petite quantité de trémolite que je n’avais pas aperçue dans la roche, et qui probablement est mélangée ici avec le pyroxène, comme il arrive fréquemment c’est aussi ce que nous avons observé dans le pyroxène vert d’Ala, dont nous avons vu plus haut l’analyse (no 17) et la discussion.
Dans mon voyage en Hongrie, j’ai cru remarquer des passages évidents entre la siénite parfaitement caractérisée et des porphyres à pâte verte compacte, remplie de petits cristaux que je regardais comme du feldspath. De même j’avais vu des passages entre ces porphyres et des roches compactes homogènes, de couleur verte, que j’ai regardées comme des mélanges intimes de feldspath et d’amphibole, comme de véritables grünstein des géologues allemands. J’ai analysé depuis une de ces roches compactes, (l’une des localités où le passage au porphyre et à la siénite m’avait parti le plus évident, et je l’ai choisie parmi les roches que j’ai rapportées de la vallée (I’Hodritz, près Schemnitz. Cette roche m’a fourni
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Silice....... tenant oxigène |