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et son effort pour opérer la rupture du poteau montant à son extrémité inférieure, en le supposant libre par en haut, sera

$\pi ''{\frac {(h+x)^{3}}{6}}(s+b).$

La résistance à cette rupture est

$kz_{_{\scriptscriptstyle {II}}}z_{_{\scriptscriptstyle {II}}}b.$

On a donc cette seconde équation d’équilibre :

$\pi ''{\frac {(h+x)^{3}}{6}}(s+b)=kz_{_{\scriptscriptstyle {II}}}z_{_{\scriptscriptstyle {II}}}b\,;$

d’où l’on tire

$z_{_{\scriptscriptstyle {II}}}=(h+x){\sqrt {\frac {\pi ''(s+b)(h+x)}{6kb}}}.$

(42) Radier. L’eau que nous supposons s’être introduite du bief supérieur sous le plancher de madriers formant le radier du sas, exerce verticalement de bas en haut, pour rompre en son milieu, suivant la largeur de l’écluse, l’un quelconque des panneaux qu’ils forment entre deux entre-toises consécutives, un effort exprimé par

${\frac {\pi 'l(h+x)(s+b)^{2}}{8}}.$

On a d’ailleurs, pour la résistance de ce panneau dans son plan de rupture,

$k\mathrm {Z} _{_{\scriptscriptstyle {III}}}^{2}l\,;$

et par conséquent, cette troisième équation d’équilibre,

${\frac {\pi 'l(h+x)(s+b)^{2}}{8}}=k\mathrm {Z} _{_{\scriptscriptstyle {III}}}^{2}l,$