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m. Portion de la couche ligneuse de la première année qui est représentée tout entière fig. 3, entre les lettres m. l.

q. r. Portion de la moelle. – p. Place de l’étui médullaire.

Fig. 7. Le même fragment de la fig. 3, représenté fig. 6, grossi au point de faire voir le tissu organique dans ses moindres détails.

m. Portion de la couche ligneuse de la première année qui est représentée tout entière fig. 3, m. l. – q. Portion de la moelle qui est représentée tout entière fig. 3, q. r. – s. Rayons médullaires. – a. Trachées qui font partie de l’étui médullaire. – r. Portion de la moelle composée de cellules, dont les parois, très-épaisses, offrent des interstices pariétaux. – t. Tissu cellulaire de la moelle, dont les parois, très-minces, n’offrent point d’interstices taux.

Observation. Le tissu médullaire à parois épaisses, r, a une organisation très-remarquable. Les interstices pariétaux sont très-apparents ; ils forment dans quelques endroits des vides triangulaires, et dans d’autres seulement des fentes linéaires. Quelquefois aussi ils n’existent pas, ou du moins il est impossible d’en constater l’existence. Les cavités cellulaires sont remplies de petits grains qui sont probablement de l’amidon. Ce tissu médullaire à parois épaisses est continu avec le tissu médullaire à parois minces, t, et le passage de l’un à l’autre tissu se fait brusquement.

Fig. 8. Coupe longitudinale radiale du fragment représenté fig. 5.