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Paris (où la température de l’Observatoire est de appartient néanmoins à une zone isotherme supérieure, et qu’en effet, d’après les nombreuses données recueillies par le P. Cotte, on doit assigner les moyennes températures suivantes, savoir, à Rouen à L’Aigle à Mayenne et à Saint-Malo D’où j’ai conclu que la moyenne température de Littry pouvait être fixée à nombre qui est vraisemblablement un maximum.

En adoptant ce nombre pour calculer l’accroissement de la chaleur souterraine, on trouve qu’à Littry la température propre du sol, à mètres de profondeur, diffère de d’avec la température moyenne du pays, ou en d’autres termes que l’accroissement de chaleur est de pour mètres cent., résultat qui est un peu moins fort qu’à Decise, mais beaucoup plus considérable qu’à Carmeaux.

Avant de terminer la seconde partie de mon travail, j’en rapprocherai les résultats au moyen des deux tableaux suivants.