munes, leur température semblait propre à donner celle du sol environnant.
À l’étage inférieur, en opérant comme ci-dessus, j’ai trouvé que l’air au foud de la galerie principale de roulage, c’est-à-dire à mètres du puits, marquait Aux extrémités des autres galeries dans lesquelles je suis entré, la température n’était inférieure à la précédente que de deux à trois dixièmes. Au plafond du conduit débouchant dans la cheminée d’aérage, l’air remontant au jour était à et sortait par conséquent avec une température de plus de au-dessus de celle de l’extérieur.
Enfin, ayant déterminé d’une manière directe, que je regarde comme exacte, et dont je donnerai la description ci-après, la température propre et originaire du terrain qui environnait le fond de la galerie de roulage inférieure, je l’ai trouvée de Ainsi j’aurais commis une erreur de près de en plus, si, imitant la plupart des observateurs, j’avais donné la température de l’air des galeries non fréquentées de l’étage inférieur de l’exploitation du Ravin comme représentant la température réelle de la zone de terrain qui est située dans le même plan horizontal.
L’exemple que je viens de citer est tellement frappant, que je crois inutile de rapporter les faits nombreux de même nature que j’ai recueillis à Littry et à Decise.
En opérant tant dans les mines que je viens de citer, que dans plusieurs autres où j’ai étendu mes recherches depuis six ans, j’ai constaté un autre fait non moins intéressant, savoir, que dans le même temps, la température de l’air n’est presque jamais semblable à la partie inférieure et à la partie supérieure d’une galerie ou de tout autre ouvrage du même