du corps ne se déplacent point dans le sens des et des donc De plus aucune force n’étant appliquée aux points intérieurs du corps, Les deux dernières équations indéfinies disparaissent donc, et la première se réduit à
dont l’intégrale est
étant une constante arbitraire, puisque quand
Quant aux équations déterminées, on a pour les deux faces du solide et en ayant égard aux remarques précédentes, ces équations deviennent pour ces faces
La première donne la valeur de la force appliquée aux points des faces du solide pour une unité superficielle. Comme on a d’ailleurs la constante se trouve déterminée, et L’équation qui donne le déplacement des points du solide est donc
On tire de cette équation
d’où l’on conclut que la constante est égale au poids qui, dans un solide tel que celui qu’on a considéré, a été réparti