Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 7.djvu/513

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’à et enfin pour les deux dernières dépressions, j’ai supposé et

Voici maintenant les formules et les séries que j’ai employées : elles sont tirées du Mémoire que je viens de citer.

Soit l’inclinaison du côté de la courbe, à l’extrémité inférieure de la première division ; soient et l’abscisse et l’ordonnée correspondantes à la même extrémité ; soient encore le rayon osculateur de la courbe au même point, et ce même rayon, au sommet de la courbe ; l’équation différentielle de la courbe donnera

La quantité étant un coëfficient constant égal à le millimètre étant pris pour unité, la dépression du mercure dans le baromètre est étant la dépression supposée, d’où l’on tire quantité connue. Les séries suivantes ont été employées pour déterminer les valeurs de et pour les dépressions au-dessous d’un millimètre.


Dans ces formules, les coëfficients des puissances de étant représentés par leurs logarithmes, pour la facilité du calcul ;