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et en outre
La partie de relative à l’action de la lune se déduira de cette dernière formule, en y changeant et en et et supposant que les angles et répondent à la direction de son rayon vecteur.
Si la terre était elliptique, la quantité subsisterait seule dans l’expression de son rayon variable, et toutes les suivantes etc., seraient nulles. L’ensemble des nombreuses mesures des degrés et du pendule que l’on faites, s’écartant fort peu de cette hypothèse, il en faut conclure que etc., sont, sinon égales à zéro, du moins très-petites par rapport à D’ailleurs elles sont multipliées dans une fois, deux fois, etc., de plus que par ou c’est-à-dire par la parallaxe du soleil ou de la lune ; il en résulte donc, pour cette double raison, que la partie de la formule (11) sera très-petite relativement à l’autre partie, dépendante de et qui formera à très-peu près la valeur de Néanmoins nous conserverons, pour plus d’exactitude, la partie réduite à son premier terme.
En regardant la terre comme un solide de révolution, la quantité que ce terme contient, aura pour expression :