Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 7.djvu/254

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

exprimera la chute d’une écluse quelconque dans une suite de sas accolés, suivant le rang qu’elle y occupe.

(31) Nous n’étendrons pas davantage les applications de nos formules à des cas particuliers ; nous nous bornerons à faire remarquer que les mêmes équations par lesquelles on exprime l’exhaussement du niveau des biefs d’un canal, donnent l’abaissement de ces biefs lorsque la quantité est négative, c’est-à-dire, lorsque la chute de l’écluse est plus grande que la différence du tirant d’eau des bateaux qui montent et qui descendent :

On trouve alors :

de sorte qu’en nommant généralement etc., les chutes des écluses etc., et etc., le changement de niveau opéré par l’effet d’un nombre quelconque de doubles passages dans les biefs etc., dont la section transversale est supposée rectangulaire, les formules générales,