Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/787

Cette page n’a pas encore été corrigée

DES iNTBGRALES’C’EFINIES. l5rtQ

F~.y étant g aussi-une ; ; fonetion qui ne deviendra pas l-nfiiiieceqûi-petmettfa : d-àp’pl ; iqu-r laÆormtllê’ (6)’à Fintégf-le ; relative-à la nouvelle variable i~~ r

Gënëràlement, une Intégrale f/a ;~ ce.ssipdéreprésenoter ; la, Son1nle de~ ~eur& reeHes : de la dtfféren 1 : ieUeeom’prises ; .d-püi.s x-o jusqu’à == c, Ib-que devient innnie dans cetintervàHe. Ainsi, ;J1oÍÎ’ a, Z: par ;Bx-mple, d x a—c dx° i

¡tsifofî’suPPQséa' >0 et c~ ta premièï’eva !euï’ estioiaginaire, et la secondé négative, tandis que ~~ntielle est toujours reeUe, et la seconde ~ujour~ positive. Mais’ dans ces sortes de cas si l’on fait passer la variable, entre les limites données) par des valeurs inia qui ne rendent plus in6nie, on pourFa considefer de nouveau l’intégrale~ ~K~a ?~ comme la somme desvaleursima-0 0

ginaires de ~-Daà-Ies’é xemp 1 es, prëcedents, il faudra faire

~==~(1 – cos. z ~sm/z~)~=~~c(siB.~ + cos. ~-Ii), et intégrer depuis. 0 jusqu’à z=(2/z-r~ fêtant un nombre entier quelconque, ann de ne pas changer les limites données o et d ? = c. Les intégrales Pennies ne changeront pas non plus Tnais les fojtetiôns de z, comprises sous les signes~ ne devenant pas innm èhMlheiÎitê’~t-lé$era