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£>fA CAJLCUL NUMiEIQUE

ta ; eopreçtioinvjBn est pas déterminée. Il s agit maintenant de trouver la valeur inconnue de cette quantité, en fonction d» nombre ri, tQm de la différence o.

(2) Pour y parvenir je ferai usage de la formule :

y^V^’+i/8[2 : coS.^£i)]A-^{2)

  • • CL "V 2

a a

qui se trouve dans mon dernier Mémoire sur les intégrales définies, inséré dans le dix-neuvième cahier du journal de l’École Polytechnique. Elle représente fso pour toutes les valeurs de x> – a et <a ; à chacune des valeurs extrêmes x–±a, le second membre de cette équation est égal à la demi- somme des valeurs correspondantes "de fx, c’est-à- s dire, qu’il faut joindre à l’équation (2), celle-ci :

a

;[>+/(-^]=^/V^W+^72"cos.l/ (3)

—[fa + a ’–a 1 ̃ A ̃ cos. a (3)

On représente, à l’ordinaire, par tc le rapport de la circonférence au diamètre ; i est un nombre entier et positif, et la somme comprise sous les signes jf, s’étend, comme l’indique la noco’

tation 2 à toutes les valeurs de (^depuis i=i jusqu’à w 1

i–co Mais avant d’employer ces équations, il convient de rappeler la démonstration que j’en ai donnée, en regardant chacune des séries périodiques qu’elles renferment, comme la limite d’une autre série convergente.

Soit donc a une quantité positive et moindre que l’unité.