Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/755

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

c’est-à-dire, en mettant pour sa valeur précédente (no 45),

(52) Pour comparer cette diminution d’amplitude, à celle qui a lieu dans le cas des oscillations horizontales, supposons que l’aiguille dont il était question dans le no 42, soit la même que celle que nous venons de considérer, ou du moins que les quantités relatives à la première aiguille, soient les mêmes que les quantités latives à la seconde ; supposons aussi l’élévation de l’aiguille horizontale au-dessus de la plaque, égale à la valeur moyenne de que nous représenterons par en sorte que soit l’élévation du pôle nord de l’aiguille inclinée dans sa position d’équilibre ; prenons enfin pour l’angle dont l’aiguille horizontale a été écartée du méridien magnétique, et désignons par la diminution d’amplitude de sa première oscillation. D’après le no 42, on aura

étant toujours la durée d’une petite oscillation de cette dernière aiguillè soumise à l’action de la terre, dont la valeur sera (no 35).

On devra prendre, pour la valeur approchée du rapport que l’équation précédente renferme (no 40),