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1 1 ` 1.1 566 MÉMOIRE SUR LA THÉORIE

en faisant, pour abréger,

ç=^[icos.2(i+£j + sin.2(ï’ + q], ]

et l’intégrale contenue dans le second membre étant prise de manière qu’elle s’évanouisse quand t ==t o. Si l’on néglige cette intégrale dans une première approximation, oh aura d’abord jf =- é’dt - ;̃̃•̃ñ̃ffil/a(cûs.$. – cos.a) a)

Je substitue ensuite cette valeur de d t, sous le signe il vient

~(coS.~–COS.~)=~cos~–cos. Soit = ̃ – « + s à la fin de la première oscillation, de. sorte que e désigne la diminution damplitude demandée on aura en même temps = o, et par conséquent

t v Q14 ; W n-P ̃ jr- 7S COS.(<Z– e) – COS. a ?= – ’a ̃TCv yi^cos.t, – cos. À Cl%. A cause de la petitesse supposée de e on pourra étendre l’intégrale depuis £=<z jusqu’à ? = – a, ou bien en changer" le signe et la prendre depuis "%==• – a jusqu’à l=a ; et si l’on néglige, en outre le carré de dans le premier membre de cette équation on en conclura 9V."b.l"’Vp fa a.y ̃Y–

s ==.-, •’̃/ <PK cos.Ç-r– cos.floç ;

al/2ïtV1sin.ay r^ >».̃> ?