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558 MÉMOIRE SUR LA THÉORIE

Or, à cause de k’–k–sb, si l’on néglige les- puissances, de b supérieures à4a première ou seulement supérieures à son carré, la seconde intégrale que renferme cette équation aura pour valeur v

2 b ̃ v

de plus, si l’on développe suivant les puissances de b, en s’arrêtant au premier ïerme, il vient

i 24byja.sïa.^(a – m’)(y’+~’sia.~(~–~)+~’+~–4~~sm.–l’équation précédente deviendra donc

<p~(~==a4~G-(y, Y), s

en-foisant, pour un moment • oo °° [(Y"-t- sin.’ (~– +jr’+~’)'– 4~~sm~(<. – ~~]-La valeur de cette dernière intégrale s’obtiendrar comme celle de la quantité H du n° 3^, et l’bn aura

p TCasin.a^(M – (/)

24 Y*(Y"+~sIo.(N––M’~)~ laquelle valeur étant jointe à celle de <px (j y) donnera

;V :̃. :9i^F)^-fl^]=o. ̃

Ainsi les intégrales relatives à r et « que contient l’équation, (j), ne renfermeront que des termes de la formeñ9l(i,)-Çl(*) ; ̃̃