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(43) L’aiguille étant toujours parallèle à la plaque • ; si laplaque, au lieu d’être horizontale, -était perpendiculaire à la= direction dit magnétisme terrestre il faudrait supprimer dans toutes les formules précédentes, les termes relatifs à l’action de la terre, dont l’aiguille serait alors indépendante. L’équation (p) se réduirait donc à celle-ci

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£’ désignant toujours la déviation de l’aiguille due à la vitesse n’ de la plaque, dans la position horizontale du système. En l’intégrant une première fois et supposant la vitesse initialé de l’aiguille «gale à zéro, il vient

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ce qui montre déjà que la vitesse de l’aiguille approchera de plus en plus d’être constante et égale à celle de la plaque. Si l’on intègre une seconde fois, et que l’on compte l’angle à partir de la position initiale de l’aiguille, on aura

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~Sin.~ $

Supposons qu’on ait marqué par un trait la projection de l’aiguille sur la plaque avant que le mouvement ait commencé^ que l’on marque par un autre trait, cette projection à l’époque où la vitesse de l’aiguille est sensiblement égale à celle de la plaque ; et que l’on désigne par £t la, quantité angulaire dont le second trait se trouvera en arrière du premier par rapport au sens de la rotation on aura, d’après cete équation, ~tn-e2

1 îuasin.