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DU MAGNÉTISME EN MOUVEMENT. 53q

68.

La condition sin. 8 étant remplie, la première équation (n) fera connaître la diminution apparente du poids ( de l’aiguille dans sa position stationnaire, en y mettant pour et valeurs valeurs précédentes. En développant, comme il vient d’être dit, les valeurs correspondantes de sin. et P par rapport à g erg’, et effectuant les intégrations relatives à z, la valeur de sin. se trouvera exprimée par une série ordonnée suivant les puissances impaires de la vitesse n, et celle de P, par une série qui procédera suivant les puissances paires et commencera par le carré Si l’on s’arrête aux deux premiers termes de la première, et que l’on ne conserve que le premier de-la seconde que d’ailleurs on ait égard aux valeurs d.e ~: x et, ~9, m~. du no 35, et que l’on substitue pour les puissances les quântités gl, ga ; g’~ g’z du no 3n on trouve

sin. b Le (h5 ;5 p n

sin. ~=’~4.h~2 LCI (h’ -f-1~) 5

hs a5l’, h 7 5’ 3 3 Cr (~’ +l’ +- h~ ~t r ha l=.yi/ l (paV’p +.9 j~3) n3, ’ P ~.9"’ ble’ ~I~ (4h2-l’)h5

4 ~G 4 <.

Des expériences qui m’ont été communiquées par M. Arago, montrent que le terme proportionnel à la vitesse n dans la valeur de sin en est la partie principale. La déviation de 1 aiguille ayant toujours lieu, d’après l’observation, dans le même sens que le mouvement de la plaque, il faut que ce terme soit positif, et que la quai-titép soit par conséquent positive. Relativement aux variations de dues à celles de la