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5^4 MÉWOÏIRB SUR LA THÉORIE

Dans le cas de k’ = k} nous aurons

~(~)==–(~)

J^00/ 00[(F i-«ï+>>+i/2)2-4aV2]4

Cette dernière intégrale est nulle, comme étant composée d’éléments, deux à deux, égaux et de signes contraires entre les limites j=±oo il en résultera donc

~r.(~’k~(-k y-i)—«ay~(krk-k’, k’ k Jk

Lorsque les constantes et k’ seront différentes, on ne pourra pas obtenir sous forme finie la valeur de l’intégrale (p(k, kf) ; mais si l’on prend, comme il à été dit, Jc = h–b, k’ = h+b,

pour les valeurs de k et F, et que l’on développe suivant les puissances de b, cti obtiendra une série trèé-convergente dont nous ne conserverons que les deux premiers termes ce qui donnera r

f’(k, k’)=~ctct’^rl’)9{h !h)—i^b0>H, .̃ en faisant, pour abréger,

H– ~oo[(A’+~+~+~~–~y~’

et supprimant une intégrale dont les éléments se détruisent deux à deux entre les limites j=±co. La valeur de<p’(F, ^)