DU BÏAGNÉTISME EN MOUVEMENT. 5a3
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chée de X, sera de la forme v X==2ii ;<j/£ + Xt
X, étant une quantité connue. Au moyen de cette valeur et de l’équation («), < on déterminera les inconnues f t et t- ; d’où Ion conclura une troisième valeur approchée de X, et ensuite de nouveaux termes f et tyjtk ajouter aux formules (*’). En continuant ainsi, on obtiendra, par la méthodedes approximations successives, des valeurs de tyûet ty’, ty exprimées par des séries dont les premiers termes seront les formules, 0’), et les autres auront pour facteUrsTles puissances b b2 b etc., indépendamment de la quantité b que renfermeront F t et F’t, c’est-à-dire, par des séries telles que
<p/=A + b A, + fr A2 + b3 A3 +- etc.,
f t = A’-h&A1’ + ^A ; + ^A3’+ètc. ;
A, At, A2 etc., A’, A/ A/, etc., étant des quantités connues qui renfermeront la demi-épaisseur b, provenant des valeurs données de F’ et F f.
Les premiers termes A et A’ sont les seconds membres des équations (i).’J’ai aussi formé les -seconds termes b kx et b A/ ; mais je n’en donne point ici les expressions à cause de leur complication et de la longueur des calculs qu’il faudrait faire pour les réduire en nombres dans chaque cas particulier. Il convient toutefois d’observer que le coefficient A, ’ s’évanouit comme A’, quand b=o, en sorte qu’en s’en tenant au premier, terme de la valeur de ty’t, la partie négligée a b* pour facteur, tandis qu’en s’arrêtant au premier terme de la valeur de if t, la partie négligée a seulement pour facteur la première puissance de-Tépaisseur.
