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Sur la Théorie du- magnétisme en mouvement ; Par M. POISSGW. ; ṽ̃̃̃ ñ̃̃̃̃̃’̃ ̃̃̃"̃, ’̃̃ ’̃ ’y- -’̃̃’ '̃ /’̃/ y "-̃ Lu à l’Académie des Sciences, le ïo juillet i.8%6- -<-̃̃̃•
Dans les dëuxr Mémoires que f ai lus prededemmerit à i’À’cadétnie j’ai GonsidéFé l’actiori des eôrps aimantés par influence, lorsque les fluides boréal et austral sont parvenus dans leur intérieur à l’état d’équilibrée Je me ^propose maintenant d’étendre au cas du mou^ëmeïa’t là ttiéorié que j’ai exposée en détail- dans le premier dé Sèëâ Mémoires théorie qui attribue les pnéhbmèïies màgnëtîqueé à deux fluides iijapôndérabfëà ;, contenus l’un et l’autre en égale ’quantité dans les cbrps suséeptibles d’ainlàntatiori f dont les particules n’éprouvent jamais que die très-petits déplacements et sont soumises à une action mutuelle en ï’aisoii-inveTse du carré des distâïicësy répulsive entre celles dniri même, fluide, et attractive entre les molécules de l’un des fluides et éelles de l’alitrë. -v" ̃i’-V ; ;• ̃ ^̃̃̃̃< ̃̃̃’̃ñCoulomb avait ; pensé que tous les corps peuvent dbhher d es, signes d^ima-titation^.«t que cette pf dpriété né provenait t pas d’une petite proportion de fer qui entrerait dans leur