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3«8 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

courbe fermée s ;’ il faut donc qu’on ait 2/72–1=0, ra– f» et que la valeur de la force due à l’action mutuelle des deux éléments &s, ds’ soit

ii’dd’(r"), a»’dd’l/7

ME" v

II. Sur une transformation propre à simplifier le calcul de l’action mutuelle de deux conducteurs rectilignes. Quand les deux conducteurs sont rectilignes, l’angle formé par les directions des deux éléments est constant et égal à celui des directions mêmes des deux conducteurs ; il est donc censé connu, et en le désignant par s, on a, page 207,

d*r r dr£r àjc d £f dy dy àz dV cog £ rd7d7’ + dl’d^ ds' ds> di dsf ds’ds’ d’où il suit qued & (r ’") (m–i)drdr’rdd’r (m – 2)drdr’– cos. ed5d mr<» = r* r’

En désignant par p un autre exposant quelconque, on a de même Ad’{rr) (p – ajdrdV – CQS.edjdjr/

prr P r.̃̃

et, en éliminant drdr/. entre ces deux équations, on obtient (p–a)dà’(rm) (m – 2.)dd’(rr) (m-–p)ços.zdsd s’ iwr^" prr r*

d’où

d’d’(r") m – 2 dd’jrv) m–p cos.edsds’

mrm p – 2* prp P – 2 r°