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3l8 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

»(i) Il est inutile de remarquer que ces X, Y, Z expriment des forces toutes différentes de celles que nous avons déjà désignées par les mêmes lettres, lorsqu’il s’agissait de l’action mutuelle de deux éléments de circuits voltaïques.

parallèles aux x qu’exerce l’élément dV sur l’assemblage des deux surfaces terminées par le même contour s nous aurons 3 X=~’d~

ou, ce qui est la même chose,

y <a> n.r-.rf)^-z-z’)Aj

X=p.gid c J -p -7

les x, y, z n’étant relatifs qu’au contour s.

On aura de même, en désignant par Y et Z les sommes des forces parallèles aux y et aux z qui agissent sur le même assemblage de surfaces,

Y=~s’d~~=~~d~–––~–––––. Z=Y.gt’à’<s’j-1j1=g^ à (7 j – p- –, {lJ-Comme toutes les forces élémentaires qu’exerce l’élément d’à sur ces surfaces passent par le point m où il est situé on voit que toutes ces forces ont une résultante unique dont la direction passe par le même point m, et dont les composantes parallèles aux axes sont X, Y, Z. Les moments de cette résultante par rapport aux mêmes axes sont donc Yz’– Z/, Za’– Xz’, Xy’-Yœ

Supposons maintenant qu’au lieu de ces forces on applique