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̃ZTJ2. THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

du signe

Xii’ds’sm.bAL’ lii’dv

~2jlr’ ou ~gF en nommant àv l’aire âJ b qui est égale à

/’dVsin.éAL’

Comme cette force est normale en A au plan À L b il faut pour avoir son moment par rapport à l’axé L’K, chercher sa composante perpendiculaire à À L’K, et la multiplier par la perpendiculaire à À P abaissée du point A sur la droite L’K. (/. étant l’angle compris entre les plans kJb, AL’K, cette composante s’obtient en multipliant l’expression précédente par cos. [/ mais de cos. y. est la projection de l’aire Av sur le plan AL’K, d’où il suit qu’en représentant cette projection par d«, la valeur de la composante cherchée est a

~kiir du s

g.Z~s-’ ñ

Or, la projection de l’angle ah’b sur AL’ K peut être considérée comme la différence infiniment petite des angles K U a et KL’è: ce sera donc d e, et l’on aura

f j/ –i. i l’*d$ • ̃̃’

JL Vit – – – – -^– ^^–

ce qui réduit la dernière expression à

lii’df. ’̃

` 2 g’ L,

et comme À P = sin. 8 on a pour le moment cherché aii’.j.

sin. 6 d S.ñ•̃̃ *g