Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/441

Cette page n’a pas encore été corrigée

ÉLECTRO, -DYNAMIQUES. 253

mais en faisant ÂMss^A’MW, VAU=e, on a >*=«* + s7 + s’1 – a^’cos.s,

° ~=~t-t-~–a~’cos.e,

d’où

d’où d i àr d’r dr dr

~=’–' ~d7=’d7d7+~dP===" l’ s d’sds ds-ds et comme

Al dr J*1 “ d’ dr dr dr ir

£ d£ r dsds’ – zds’ds’ CO’s + Od7’d ?

d* r> dsds’ r3 –– P la valeur de l’action des deux éléments devient̃-•/̃ d«i I

1 • •’ J J I COS. s 1)

2 r* dsds’/

2, r° d-d-V

Pour avoir la composante parallèle à AA’, il faut multiplier cette expression par le cosinus de l’angle MM’P que fait MM’ avec M’P parallèle à AA’, c’est-à-dire par |^ ou ce qui donne

d-Y

I j t /.(COS. ê r

— an. dsds –, +—3 – t-r-l i

et en intégrant dans toute l’étendue des deux courants, on trouve pour l’action totale

/i /*fàsds’

—an (- +cos.e// – =7–)•

ai fZ r r + JJ r J

Si les deux courants font entre eux un angle droit, on a cos.s=o, et l’action parallèle à À A’ se réduit, en prenant