9,418, v THÉORIE DES phenomèn-es
du point 0 sur les distances L"L, on a évidemment
C~`Sln. (~=rr’-E I]l" a1l Sln. C~j- = ll ~) p~ WL" < r=" arr rr ~sin. sin.~sin.p/~ SIn., s et l’intégrale précédente devient
I. aa~~l’= ~~ ? -~r=, r wr~, r)cot.a~. Si l’on fait attention qu’en désignant la distance OL’ par c’, on a aussi, dans le triangle 0 M’ L’,
—s –––~–~=~’cos.e–sin..cot. d r’ a’sin., dW sin. ~ ? S1Il.a
on" voit aisément que l’intégrale de J’autre quantité se forme de celle que nous venons d’obtenir, en y changeant p, pIer ; r=" ; r, en p=’, p, r=’~ r, ce qui donne pour la valeur du mo. ment de rotation qui est la différence des deux intégrales,
~[~––+~/–(r/–+~’)cot..].
Cette valeur se réduit à celle que nous avons trouvée plus
- haut dans le cas où l’angle est droit, parce qu’alors cot. E-o.
Quant on suppose que les deux courants partent du point 0, et que leurs- longueurs O L", O L, (ng. a4) sont représentées respectivement para et b, la perpendiculaire OP par p, et la distance L"L, par7’, on a p, " ~, pt"=~y=p-og y/’==r~==<x, =o, et ~ -t- (<~ + ~–) cot. e]
pour la valeur que prend alors le moment de rotation.