ELECTRO-DYNAMIQUES. 2, ^3
51.
—mobile de conducteur elle devient très-simple quand cette portion se trouve sur une droite élevée par un point quelconque du conducteur rectiligne que l’on considère ïomme fixe, perpendiculairement à sa direction, parce qu’en prenant ce point pour l’origine des.<$’, on a
s
eos.p’
et que s’ est une constante relativement à la différentielle (––––––
La valeur du moment élémentaire devient donc
I U> d s’ s-^ d (cos.3S) = – iï as’ sin.3 cos., pd 13-,
2 COS. g V VJ 2. ̃ r r r dont l’intégrale entre les limites p" et $’ est
— -iî’ds’(sïn.3f— sin.3jî’).
En remplaçant ds’ par les valeurs de cette différentielle trouvées plus haut, et en intégrant de nouveau, on a, entre les limites déterminées du conducteur rectiligne,
zï’ [«"(cos. p/’– COS.&")– -«’.(côs.k1–.œs.fr’)].
Si l’on suppose que le conducteur s’étende indéfiniment dans les deux-sens, il faudra donner à ;$/, £/ p2Vfr, les valeurs que nous leur avons déjà assignées dans ce cas, et on aura ~~iï(a"–a’)
pour la valeur du moment cherché^ qui sera, par consé-