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234 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

pour l’expression du moment total

vl frus’àuàs’ i v. ds TCà^r J J

—II de.=̃ tt––.duds 2 ~/7, ,2 sin.dKd~’

En considérant la portion L’L" du courant s, et la portion L, L2 du secteur, et en faisarit"L’L ;=rI’, L"LI==r, L’L2=ra’ L"La– r2", la valeur de cette intégrale est évidemment I i, i~ d à (rz’+r="1"~ry).. 2 sm.’sA

Lorsque c’est à partir du centre 0 que commencent le secteur et le conducteur s’, la distance /îfI = o ; et si l’on fait OLJ=^fl, OL"=è.>L"L1=7-J on trouve que leur action mutuelle est exprimée par

dz b

—n–––(<~+c–).

a sm.’e

Quand le conducteur L’L"(jfig. xq) a pour milieu le centre hx du secteur, et que sa longueur est double du rayon a de ce secteur, on a a==byet en faisant ̃L’LILi = 26=71 – er~ r=’c~, rz’=2asin.e : ri"~2aeos. A, dE=~zdd, a r1’=r" =zafr^ = 2.a sin. 9 ; r2" =’ 2, acos. 9 d s–-– a d9 en sorte que la valeur du moment de rotation devient v di, F 1 t : i : dQfcos.8–sln.6)

au -r-4-(sin.Ô – cos.9) – -• – g – sin. Qs> y 2 sin.2 Q cos. "9 9

On peut déduire de ce résultat une manière de vérifier ma formule au moyen d’un instrument dont je vais donner la description. Aux deux points «, <«’((fig. 20) de la table m n s’élèvent deux supports ab, a’ b’ dont les parties supérieures c b, c V sont isolantes ils soutiennent une lame de cuivre H deH’ d’ é