Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/418

Cette page n’a pas encore été corrigée

230 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

0 et O’ (fig. 18) situés dans un même plan. Soit MN un réïément ds’ quelconque du second. L’action du circuit Q sur ds’ est, d’après ce qui précède,

n – i iif às’"kà(f rp

~~2. r»*-1

Nommant d<p l’angle M NO, et décrivant l’arc MP entre les côtés de cet angle, on pourra remplacer le petit courant MN par les deux courants M P, NP dont les longueurs sont respectivement rd< ? et d r ; l’action du circuit O sur l’élément MP, qui est normaléà sa direction, s’obtiendra en remplaçant dans l’expression précédente d if par MP, et sera n – i ii’lày

2 :

l’action sur NP, perpendiculaire à sa direction, sera de même n – i ii’~kàr t rn-1-x ·

Cette dernière intégrée dans toute l’étendue^du circuit fermé 0’est nulle, il suffit de considérer la première qui est dirigée vers le point O, d’où il résulte déjà que l’action des deux petits circuits est dirigée suivant la droite qui les joint. Prolongeons les rayons OM, ON jusqu’à ce qu’ils rencontrent la courbe en M’ et N’ ; l’action de M’ N’ devra être retranchée de celle de M N, et l’action résultante s’obtiendra en prenant comme précédemment la variation de celle de MN en signe contraire, cè qui donne

n(n – i) ii’y.d(pèr n(n – i) ii’"krày%r

2 r-tx ou 2 ~7î-t-3

Or, rd ç^rest la mesure du segment infiniment petit MNN’M’.